# 1.	Introduction
Nous allons découvrir comment rediriger un port sur un serveur Hyper-V exposé avec une adresse IP publique sur Internet. Dans notre situation, nous avons décidé d'exposer le port 3389 (RDP) d'une machine virtuelle sur notre Hyper-V via un port personnalisé sur l'adresse IP publique du serveur.
# 2.	 Prérequis
•	Un serveur Hyper-V

•	Une machine virtuelle installé sur Hyper-V

•	Une machine cliente pour tester
# 3.	 Mise en place
## 3.1. Création d’un commutateur virtuel
Nous allons créer le commutateur virtuel via PowerShell :


```
New-VMSwitch -SwitchName “NATSwitch” -SwitchType Internal 
```

![image2.png](/uploads/image2_8d84ccb0a4.png)
On le retrouve aussi dans notre Hyper-V
![image3.png](/uploads/image3_f1f8270e4b.png)
## 3.2. Partage du réseau
Rendez-vous sur la connexion réseau de votre hôte Hyper-V :
Appuyez sur Windows + R.
Tapez la commande suivante : ncpa.cpl et validez.

![image4.png](/uploads/image4_6dc17fb069.png)
Une fois dans la liste des connexions réseau :
Cliquez sur la carte réseau qui possède votre IP publique et qui est connectée au WAN (dans cet exemple, la carte réseau est NIC1).
![image5.png](/uploads/image5_70351bde06.png)
 Accédez aux propriétés de cette carte réseau.
![image6.png](/uploads/image6_6ce92174d0.png)
Dans la fenêtre des propriétés, allez dans l’onglet Partage.
![image7.png](/uploads/image7_ae4879a6b8.png)
 Cochez l’option :  
 >  Autoriser d'autres utilisateurs du réseau à se connecter via la connexion Internet de cet ordinateur.
 
 Dans la liste Connexion réseau domestique, sélectionnez la carte réseau virtuelle que vous avez créée.
![image8.png](/uploads/image8_d9c95c04df.png)

## 3.3. Création du réseau interne

Nous allons maintenant créer un réseau local (LAN) pour les machines virtuelles dans Hyper-V. Pour cela, utilisez la commande PowerShell :
```
New-NetNAT -Name "NATNetwork" -InternalIPInterfaceAddressPrefix 192.168.1.0/24
```
Dans cet exemple, nous nommons le réseau NATNetwork avec l’adresse 192.168.1.0/24.

![image9.png](/uploads/image9_041fce97d4.png)

## 3.4. Configuration de la carte virtuelle
Sélectionnez la carte vEthernet (NATSwitch) dans les connexions réseau.
![image10.png](/uploads/image10_e0c1593b47.png)
Ouvrez les propriétés, puis accédez au Protocole Internet version 4 (TCP/IPv4).
![image11.png](/uploads/image11_32d6a43357.png)
    Configurez les paramètres comme suit :
    
Adresse IP : choisissez une IP qui servira de passerelle pour vos machines dans le LAN Hyper-V (par exemple, 192.168.1.1).
        
Masque de sous-réseau : identique à celui défini dans PowerShell (par exemple, 255.255.255.0).

Passerelle par défaut : entrez votre IP publique.

Serveurs DNS : vous pouvez utiliser les DNS publics, comme ceux de Google (8.8.8.8 et 8.8.4.4).


![image12.png](/uploads/image12_7ebfb87797.png)

## 3.5. Configuration réseau d’une machine virtuelle
 Ouvrez Hyper-V et sélectionnez la machine virtuelle à configurer.
 
![image13.png](/uploads/image13_3a830dd327.png)
 Allez dans les paramètres de la machine et choisissez Carte réseau. Associez la carte réseau au commutateur virtuel que vous avez créé.
![image14.png](/uploads/image14_c40892986c.png)
Connectez-vous à la machine virtuelle, puis configurez son réseau :

 Accédez aux connexions réseau, puis aux propriétés de TCP/IPv4.
 
 Attribuez une adresse IP du réseau créé précédemment (par exemple, 192.168.1.10) et un masque identique.
 
  Passerelle : l’adresse IP de votre carte virtuelle sur Hyper-V (par exemple, 192.168.1.1).
  
  DNS : utilisez les serveurs publics, comme ceux de Google (8.8.8.8 et 8.8.4.4).
  
  Testez la connexion Internet sur la machine virtuelle.
  
![image15.png](/uploads/image15_0a1e79ce7d.png)
 Activez le Bureau à distance sur la machine pour permettre des connexions RDP.
![image16.png](/uploads/image16_e9497fc823.png)

## 3.6. Redirection de port
Pour rediriger un port vers une machine virtuelle, ouvrez PowerShell sur l’hôte Hyper-V et utilisez la commande suivante :


```
Add-NetNatStaticMapping -ExternalIPAddress "0.0.0.0/24" -ExternalPort 50002 -Protocol TCP -InternalIPAddress "192.168.1.10" -InternalPort 3389 -NatName NATNetwork
```
Cette commande redirige : 
Toutes les IP publiques (avec 0.0.0.0/24).
 Le port externe 50002 (personnalisé) pour une connexion entrante.
Vers l’adresse IP interne 192.168.1.10 sur le port 3389 (RDP).
En spécifiant le réseau NAT, ici NATNetwork.
![image17.png](/uploads/image17_c0af2cccd7.png)

## 3.7. Test de connexion RDP
Depuis un poste externe, ouvrez votre client RDP.
Entrez votre IP publique suivie du port personnalisé (par exemple, xxx.xxx.xxx.xxx:50002).
Vous devriez être connecté à votre machine virtuelle via RDP.
![image18.png](/uploads/image18_ed59df5ffb.png)
Vous avez désormais configuré votre Hyper-V pour permettre à vos machines virtuelles de se connecter à Internet et aux réseaux externes via un réseau NAT et des redirections de ports.
![image19.png](/uploads/image19_8c522c99c5.png)

Redirection de port sur Hyper-V

Si vous avez cliqué sur cet article, c'est sûrement que vous connaissez et utilisez potentiellement l'**Infrastructure as Code** (IaC). Si tel n'est pas le cas, je vais vulgariser un peu ce magnifique terme.
L'IaC est une pratique qui consiste à gérer et provisionner des infrastructures et des assets informatiques à l’aide de fichiers de configuration. Plutôt que de manipuler directement vos ressources informatiques, l’IaC permet de définir et d’automatiser leur mise en place et leur gestion. Techniquement, on pourrait comparer cela à du scripting bash pour déployer vos serveurs, mais en plus poussé.
Ici, on a l'avantage, en IaC, d'avoir "clé en main" une traçabilité, une cohérence et une idempotence de toutes les machines et des assets.

On peut ainsi dire que l’infrastructure est générée en code, que ce soit du code pur (comme c'est le cas avec Pulumi, mais on y reviendra) ou avec des fichiers de configurations YAML, HCL, JSON, etc. 

Ce qui était autrefois une étape manuelle et sujette à des erreurs devient aujourd’hui un processus agile et automatisé, aligné sur les principes du DevOps et de l’intégration continue/déploiement continu (CI/CD).

Maintenant qu'on est plus familier avec ce qu'est l'IaC en tant que tel, passons au vif du sujet.  
Pourquoi le si connu et vanté Pulumi n'est-il pas toujours la meilleure solution pour vos projets ?  
Pourquoi la promesse d'utiliser uniquement votre langage de développement n'est-elle pas forcément gage de bon choix d'outil ?

## Deux philosophies distinctes

[Terraform](https://www.terraform.io/) est un outil d'abord open-source puis propriétaire, développé et maintenu par [HashiCorp](https://www.hashicorp.com/) depuis 2014 (les papas de Packer et Vault notamment). Un fork open-source existe : [OpenTofu](https://opentofu.org/).  
Initialement, l'outil utilisait le langage HCL, un langage créé par HashiCorp (d'où son nom d'ailleurs, HCL voulant dire HashiCorp Configuration Language), puis a introduit d'autres possibilités, notamment le JSON.  
Un avantage majeur de Terraform est sa vaste adoption et sa communauté active. Grâce à cette popularité, Terraform dispose de nombreux [modules et plugins](https://registry.terraform.io/browse/providers) maintenus par la communauté, couvrant presque tous les fournisseurs de cloud majeurs et services tiers.

[Pulumi](https://www.pulumi.com/) est un outil plus jeune, lui aussi open-source, développé par Pulumi Corp. De la même manière, Pulumi se base sur des [modules et plugins](https://www.pulumi.com/registry/) maintenus par la communauté, permettant de couvrir les fournisseurs.  
Ces deux outils demeurent similaires sur beaucoup d'aspects, notamment la gestion d'état, qui est un des éléments clés de ces outils et qui est **vraiment** un game-changer dans le déploiement continu et la maintenabilité de vos infrastructures. Ils diffèrent aussi sur certains points.

En effet, bien que les deux outils utilisent une syntaxe déclarative, l'une des différences majeures est que Pulumi s'oriente davantage vers les développeurs allant vers de l'IaC en utilisant du code natif et des librairies pour travailler sur nos infrastructures. L'avantage réside dans la diversité des langages. Vous y trouverez forcément votre bonheur. Vous pouvez voir tous les langages actuellement disponibles [ici](https://www.pulumi.com/docs/iac/languages-sdks/).

## La documentation

Quand on navigue dans la documentation de Terraform, je trouve que celle-ci est très bien construite, intuitive et très formatrice, de même chez Pulumi, surtout pour les documentations par registre.  
Les registres chez Pulumi sont quasiment tous extrêmement bien fournis avec des exemples dans tous les langages (celle d'[AWS](https://www.pulumi.com/registry/packages/aws/api-docs/s3/bucket/) notamment, que je trouve tout simplement parfaite).

**Par contre**, sur ce même outil, un vrai souci est présent avec [Pulumi IA](https://www.pulumi.com/ai), leur modèle d'IA. Autant je trouve que c'est une idée incroyable sur le papier, autant des lacunes sont présentes. Le code généré par cette IA est parfois absolument catastrophique, avec des complexités ahurissantes. Et, le second souci que je trouve encore plus dérangeant, est qu'une bonne partie de vos recherches Google sur le déploiement d'un service vous renverront sur une documentation sur le site Pulumi, où le code est souvent généré par l'IA Pulumi et souffre donc de ces mêmes lacunes.

## Et quel souci avec Pulumi dans tout ça ?

Un premier souci qui n'en est pas vraiment un et qui tend à se résoudre est le manque d'utilisateurs. En effet, bien que Pulumi soit de plus en plus utilisé, nous revenons vers le point précédent : on finit souvent sur la documentation qui, au final, n'est que du Pulumi IA.  

Le second souci, qui est présent dans les librairies Python et JS (je n'ai pas testé pour le reste), est que l'on retrouve des classes natives avec les mêmes noms dans plusieurs librairies, ce qui est assez déroutant et illisible en termes de codebase, notamment sur les providers AWS.  
Enfin, dès qu'une infrastructure devient très conséquente et avec du traitement de boucles, etc., le déploiement devient très vite long, ce qui est vraiment un gros point pour Terraform qui garde une très forte fluidité, peu importe la complexité de l'infrastructure.

## Quels avantages à utiliser Pulumi ?

Il y a aussi des avantages indéniables, et on ne peut le nier, le principal étant (et oui, je sais, ça va être paradoxal) le fait d'utiliser du code.  
Quoi de mieux que de faire des boucles et toute la syntaxe de votre langage préféré plutôt que d'utiliser du HCL ?

Si on compare cet exemple en HCL :
```
variable "bucket_names" {
  type    = list(string)
  default = ["bucket-1", "bucket-2", "bucket-3", "bucket-4", "bucket-5"]
}

resource "aws_s3_bucket" "my_buckets" {
  for_each = toset(var.bucket_names)

  bucket = each.key
  acl    = "private"

  tags = {
    Name        = each.key
    Environment = "developement"
  }
}
```
Avec ceci en JS avec Pulumi :
```
const bucketNames = ["bucket-1", "bucket-2", "bucket-3", "bucket-4", "bucket-5"];

bucketNames.forEach(name => {
    const bucket = new aws.s3.Bucket(name, {
        bucket: name,
        acl: "private",
        tags: {
            Name: name,
            Environment: "development"
        }
    });
});
```
Le JS est quand même beaucoup plus lisible et maintenable à mon goût.

De plus, développer avec du code natif présente davantage l'intégration dans un outil externe (développement d'une plateforme, par exemple), c'est le **must-have**.

## Mais alors, lequel choisir ?

J'ai envie de dire, c'est selon vos préférences.  

Cependant, je tends toujours vers Terraform, malgré qu'il soit devenu propriétaire (on peut toujours utiliser OpenTofu, qui est le même outil, si on souhaite rester en open-source), qui présente pour moi plus de maturité, de stabilité et de fluidité. 
Bien que Pulumi soit très intéressant dans certains usages, le manque de documentation et les incohérences de librairies me repoussent un petit peu.  
Terraform garde aussi l'avantage, dans un contexte pro, d'être plus facilement transmissible, car il n'y a pas de questions de langage : on est sur du commun et très simpliste. Mais, en contrepartie, on perdra en fonctionnalités de développement pures.  

Si vous venez du développement et que vous n'avez pas vocation à faire du déploiement à grande échelle toute votre vie, Pulumi sera plus approprié. Si il s'agit de déploiements à grande échelle en entreprise, je pense que Terraform demeure - à l'heure actuelle - la meilleure solution des deux.

Pulumi vs Terraform: Pourquoi Pulumi n'est pas toujours le meilleur choix

# 1.	Introduction
Nous allons découvrir comment installer Windows Server 2025, le nouveau système d'exploitation de Microsoft conçu pour les serveurs. Cette procédure détaille le processus d'installation ainsi que les principales commandes à connaître. Pour en savoir davantage sur les nouveautés de Windows Server 2025, vous pouvez consulter nos articles spécialisés qui les présentent en détail.
# 2.	 Prérequis
•	Accès à un hôte VMware ESXi avec une version compatible avec Windows Server 2025. De préférence la version 8.

•	Fichier ISO de Windows Server 2025.

•	Accès aux informations de configuration réseau de l'entreprise ou un DHCP pour l’adresse IP, passerelle, DNS, etc...

•	Licence valide ou un KMS pour Windows Server 2025.

# 3.	Préparer l'hôte ESXi
## 3.1. Vérification de la compatibilité de la version ESXi
Broadcom introduit officiellement la prise en charge de Windows Server 2025 dans la version vSphere ESXi 8.0.3.

Pour plus d'informations :
[Windows Server 2025 Guest OS Option in vSphere ESXi 8.0.3](https://knowledge.broadcom.com/external/article/371344/windows-server-2025-guest-os-option-is-n.html)
## 3.2. Téléchargement de l'ISO de Windows Server 2025
Si vous possédez une licence officielle, vous pouvez accéder au portail de Microsoft pour télécharger l'image ISO officielle de Windows Server 2025.
Pour les utilisateurs sans licence, il est possible de demander une version d’essai en remplissant le formulaire disponible sur :
[Microsoft Eval Center - Évaluation de Windows Server 2025.](https://www.microsoft.com/fr-fr/evalcenter/evaluate-windows-server-2025)
Cette version d’évaluation est activée pour une période de 180 jours.
Autre solution : téléchargement d’un ISO non officiel
Dans certains cas, vous pouvez télécharger un ISO provenant de sites tiers qui republient l'ISO original sous licence. Si vous optez pour cette solution, je recommande le site suivant, qui centralise les outils Microsoft de manière complète :
[Massgrave - Windows Server Links.](https://massgrave.dev/windows_server_links)
Remarque importante : Le téléchargement d’ISO depuis des sources non officielles comporte des risques, notamment en termes de sécurité et de conformité avec les conditions d'utilisation de Microsoft.
![image1.png](/uploads/image1_6885da4226.png)
Une fois le téléchargement terminé, renommez le fichier comme indiqué en .iso, en retirant les chiffres ou caractères supplémentaires situés après l'extension .iso, comme illustré ci-dessous.
![image2.png](/uploads/image2_64d2d1a7a6.png)
![image3.png](/uploads/image3_7fce63ee23.png)
Vous pouvez également le renommer avec un nom plus explicite, par exemple Windows_Server_2025_en-us
![image4.png](/uploads/image4_2c658d499e.png) 
## 3.3. Mise à disposition de l'ISO sur l'hôte ESXi
### 3.3.1. Connexion à l'interface utilisateur de vSphere Client
![image5.png](/uploads/image5_7f814f0dd6.png)
### 3.3.2. Chargez l'ISO dans l’hôte ESXi
Cliquez sur Stockage, restez dans l’onglet Banques de données, puis ouvrez l’explorateur de banque de données. Sélectionnez votre banque de données, puis créez un répertoire nommé ISO.
![image6.png](/uploads/image6_001701850d.png)
Téléchargez votre fichier ISO dans le répertoire que vous avez créé. Sélectionnez votre ISO depuis votre emplacement de téléchargement, puis cliquez sur Ouvrir pour l'ajouter. 
![image7.png](/uploads/image7_7e467201d7.png)
Vous pouvez fermer la fenêtre et attendre que la tâche soit terminée.
 ![image8.png](/uploads/image8_a1e84670e5.png)
# 4.Créer une nouvelle machine virtuelle sur ESXi
## 4.1. Accéder à l'assistant de création de machine virtuelle
![image9.png](/uploads/image9_3f1d659a00.png)
Choisissez Créer une nouvelle machine virtuelle, puis cliquez sur Suivant.
![image10.png](/uploads/image10_1208184bb5.png)
Renseignez le nom Renseignez le nom de la VM et laissez la compatibilité sur la version actuelle d'ESXi (notez que vous ne pourrez pas migrer vers une version antérieure). Sélectionnez Windows pour la Famille de systèmes d'exploitation invités. Choisissez Microsoft Windows Server 2025 (64 bits) pour la Version du SE invité.Si compatible, activez Sécurité basée sur la virtualisation de Windows.Cliquez sur Suivant.
![image11.png](/uploads/image11_fc1662e316.png)
Sélectionnez le DataStore où vous souhaitez stocker la VM Windows Server 2025, Suivant.
![image12.png](/uploads/image12_66338f0362.png)
Pour la configuration des ressources matérielles, je recommande les paramètres suivants : 2 vCPU, Mémoire : allouez entre 4 et 8 Go, Stockage : configurez un disque dur virtuel d’au moins 50 Go.Pour de bonnes pratiques, créez un répertoire dédié portant le nom de votre machine virtuelle.Enfin, pour la carte réseau, choisissez le driver VMXNET 3 afin d’obtenir une carte réseau 10 Go.
![image13.png](/uploads/image13_b959f5fced.png)
Pour monter l'ISO de Windows Server 2025, allez dans Lecteur de CD/DVD 1, puis cliquez sur Fichier ISO et sélectionnez l'ISO depuis la banque de données.  
![image14.png](/uploads/image14_3eb2733d3d.png)
![image15.png](/uploads/image15_fe46b36d75.png)
Vous pouvez cliquer sur Suivant, mais avant cela, veillez à choisir correctement le réseau auquel votre machine virtuelle sera connectée.
![image16.png](/uploads/image16_4737527b8b.png)
Enfin, vérifiez votre configuration, puis validez-la en cliquant sur Terminer.
![image17.png](/uploads/image17_8082f5eb84.png)
Ensuite, allez dans l'onglet Machines virtuelles, sélectionnez la machine que vous avez créée, puis démarrez-la en cliquant sur Mettre sous tension ou sur le bouton Play.
![image18.png](/uploads/image18_caaa1c07f0.png)
Comme indiqué, au démarrage, appuyez sur la touche pour lancer le boot depuis le CD/DVD.
![image19.png](/uploads/image19_1ec6325067.png)
Vous devriez arriver sur l'écran Windows Server Setup. Choisissez les options qui vous conviennent, puis cliquez sur Suivant.
![image20.png](/uploads/image20_23dd2c2cab.png)
Il est important de vérifier la disposition du clavier, puis cliquez sur Suivant.
![image21.png](/uploads/image21_2f2dfb49cc.png)
Sélectionnez l'option Installation de Windows Server, puis donnez votre accord et Suivant.
![image22.png](/uploads/image22_1dc9322693.png)
Si vous avez une clé de Windows Server 2025, entrez-la. Sinon, cliquer sur pas de clé produit
![image23.png](/uploads/image23_b83ee38528.png)
Ensuite, sélectionnez l'image avec Expérience bureau et cliquez sur Suivant.
 ![image24.png](/uploads/image24_f3207b094f.png)
Acceptez les conditions de licence de Microsoft Windows Server, puis cliquez sur Suivant.
![image25.png](/uploads/image25_2c2a99c863.png)
Cliquez sur le disque que vous avez alloué, puis cliquez sur Suivant. L'installation commencera ensuite.
![image26.png](/uploads/image26_18e134fec2.png)
L'installation prendra entre 5 et 10 minutes, en fonction de la vitesse de vos disques. 
![image27.png](/uploads/image27_6e15e4c4df.png)
Si, une fois l'installation terminée, il vous demande une clé, sélectionnez Plus tard.
![image28.png](/uploads/image28_e4288e234d.png)
 Créez un mot de passe robuste pour le compte Administrateur du serveur.
![image29.png](/uploads/image29_273f13a68a.png)
Déverrouillez votre machine aller sur Actions avec votre souris dérouler sur SE invité, Envoyez les touches et cliquer sur Ctrl-Alt-Suppr et taper votre mot de passe. 
![image30.png](/uploads/image30_5ed53eaa84.png)
Cliquez sur la deuxième option qui donne le moins d’information à Microsoft et Accepter.
 ![image31.png](/uploads/image31_733e526ef4.png)
Vous avez terminé l’installation de Windows server 2025
 ![image32.png](/uploads/image32_18bb9462af.png)
# 5.	Configuration minimale sur Windows server
## 5.1. Installation des VMware Tools
Pour installer VMware Tools sur votre machine, allez dans Actions, faites défiler vers SE invité, puis cliquez sur Installer les VMware Tools.
![image33.png](/uploads/image33_bc8f93d202.png)
Allez sur votre Explorateur de fichiers et cliquer sur le DVD Drive (D:) VMware Tools.
 ![image34.png](/uploads/image34_b00c16ce25.png)
Cliquez sur le setup64.exe pour lancer l’installation. 
![image35.png](/uploads/image35_3742773955.png)
Pour l'installation, aucune modification n'est nécessaire. Cliquez sur Suivant, puis sur Terminer. On vous demande de redémarrer, sélectionnez Non pour redémarrer plus tard.
## 5.2. Configuration carte réseau en IP statique
Dans la barre de recherche, tapez la commande « ncpa.cpl », puis appuyez sur Entrée. Cela ouvre directement la gestion de vos cartes réseau. 
![image36.png](/uploads/image36_3c10b490df.png)
Une fois dans le panneau de contrôle des réseaux, cliquez sur votre carte réseau, puis sur Propriétés. Décochez le Protocole IPv6 (car il n'est pas utilisé ici), puis sélectionnez Protocole IPv4.Vous arriverez sur la configuration IP de votre machine. Par défaut, elle sera en mode DHCP. Si le réseau que vous avez affecté distribue des adresses IP, une adresse sera attribuée automatiquement. Cependant, il est préférable de configurer une adresse IP statique. Assurez-vous que votre configuration réseau correspond à celle de votre routeur. Une fois la configuration terminée, cochez la case pour valider et cliquez sur OK puis OK. Si un message d’erreur apparaît, annulez-le.
Si votre machine est sur un réseau exposé à Internet, elle devrait pouvoir y accéder.
![image37.png](/uploads/image37_91adb9eda1.png)
 Vous devriez maintenant avoir accès à Internet. N'oubliez pas de lancer les mises à jour du serveur pour vous assurer que votre système est à jour et sécurisé.
![image38.png](/uploads/image38_3354393bc3.png)
## 5.3. Mettre à jour et le nom de votre serveur
Dans la barre de recherche, tapez la commande « sysdm.cpl », puis appuyez sur Entrée. Cela ouvrira directement les Propriétés système.
![image39.png](/uploads/image39_5f242486cb.png)
Une fois dessus cliquez sur changer, écrivez le nom et faites OK et OK.
![image40.png](/uploads/image40_e89b8a96e4.png)
Ensuite profitez d’être dans les propriétés systèmes pour activer l’utilisation à distance. 
![image41.png](/uploads/image41_f7d09d5ff4.png)
Indiquez que vous souhaitez redémarrer plus tard en sélectionnant l'option appropriée.
 ![image42.png](/uploads/image42_d1d70ca0e5.png)
## 5.4.	Activer Windows Server 2025 sous KMS
Il est impératif d'avoir une connexion Internet. Ouvrez simplement PowerShell en tant qu'administrateur.
 ![image43.png](/uploads/image43_70cd40eea2.png)
Ensuite, retournez sur le site où vous avez téléchargé l'ISO, à savoir [Massagrave](https://massgrave.dev/). Exécutez ensuite la commande suivante dans PowerShell.
 ![image44.png](/uploads/image44_7696236e68.png)
Vous pouvez ensuite choisir le ONLINE KMS avec la touche 4 ou le KMS38 avec la touche 3
 ![image45.png](/uploads/image45_76e2e23e5d.png)
Appuyez sur la touche 1 pour lancer l’activation de Windows Server 2025
 ![image47.png](/uploads/image47_e05f0fa629.png)
Une fois l'activation terminée, vérifiez que toutes les mises à jour en arrière-plan sont effectuées. Lorsque cela est fait, lancez le redémarrage du serveur. Une fois le serveur redémarré, il sera prêt à recevoir vos premiers services.
 ![image46.png](/uploads/image46_c0ebd6f294.png)
![image48.png](/uploads/image48_b1ab2be8fa.png)
#### Une fois l'activation terminée, vérifiez que toutes les mises à jour en arrière-plan sont effectuées. Lorsque cela est fait, lancez le redémarrage du serveur. Une fois le serveur redémarré, il sera prêt à recevoir vos premiers services.



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Redirection de port sur Hyper-V

Pulumi vs Terraform: Pourquoi Pulumi n'est pas toujours le meilleur choix

Installation Windows Server 2025 sur ESXi